Claire COMAS

 
claire.png

#Parcours Perso

Claire COMAS est une jeune femme de 27 ans, hypersensible et amoureuse des mots depuis son plus jeune âge. Elle a envie de dire les choses telles qu’elles sont, en trouvant les mots justes.

#Parcours Scolaire

Son bac littéraire en poche, Claire s’inscrit en fac de droit et y reste pendant 2 ans. Finalement, elle ne trouve pas ce qu’elle recherche dans ce parcours. Elle change donc pour la filière littérature étrangère mais elle arrête au bout de quelques mois. 

Ne sachant pas ce qu’elle a vraiment envie de faire, elle sera caissière pendant 2 ans avant de partir en voyage en Europe pendant plusieurs mois.

Lorsqu’elle rentre, elle décide de reprendre ses études. Pour l’aider dans son choix d’orientation, elle dresse la liste de qu’elle veut et ne veut pas faire. C’est finalement une amie qui va lui conseiller le marketing !

Elle intègre l’ESP et découvre le plaisir de réussir ses études ! Quatre supers années dans cette école lui permettent de mesurer l’étendue des métiers qui se cachent derrière le marketing. Elle a une révélation en découvrant celui de conceptrice-rédactrice. Elle a donc choisi cette spécialisation pour poursuivre ses études en master à l’ESP, en alternance en tant que conceptrice-rédactrice chez Le Feuillet, une marque de maroquinerie de luxe made in Lyon.

#Succès

Son plus beau succès est celui de la lettre de motivation qu’elle a envoyée pour trouver une entreprise pour faire son alternance. 

Elle a écrit seulement trois phrases, dont une citation de l’auteur antique Cratinos : « Les mots ne bâtissent pas des murs ». 

Toutes les entreprises ont répondu à son message. Même celles qui ne l’ont pas retenue. Et à chaque fois, elles lui ont fait un retour très positif par rapport à la prise de risque de ne pas faire une candidature classique.

Il faut rester soi-même et oser sortir des cases dans lesquelles la société essaie de nous mettre.

#Conviction numérique

Elle a choisi de travailler dans le digital et trouve le secteur passionnant. Mais elle ne veut pas que la technologie numérique absorbe tout. Les livres doivent être édités sur du papier. Et les machines ne peuvent pas remplacer les humains. Elle se souvient de son expérience de caissière et elle se dit que les caisses automatiques ne peuvent pas remplacer la relation avec une personne.

# Le message qu’elle souhaite faire passer

Il ne faut pas essayer de devenir ce que les autres attendent de nous. Une seule personne compte : soi-même. Il faut toujours se traiter comme la personne qui compte le plus.




Propos recueillis par Cécile Eynard

Le 10 mai 2021